Découvrez un article de Tilman Hertz et François Bousquet, qui montrent que les sciences participatives doivent amener à créer des savoirs qui affectent, c’est-à-dire qui sont associés à une expérience vécue par les participant·es au moment de l'observation : une sensation, une émotion, un souvenir...
Les auteurs préconisent pour cela de dépasser la simple transmission scientifique et d'intégrer des approches multisensorielles et multimodales aux programmes de sciences participatives, afin d’ancrer les savoirs dans le vécu concret des acteur·rices.
Cette démarche permet aux porteur·euses de projets de renforcer l’engagement des citoyens et de favoriser des transformations concrètes des comportements et des territoires.