Dans un article aussi poétique qu’inquiétant, Vigie Nature nous invite à nous interroger sur un phénomène discret mais profond : l'effacement progressif de la nature de notre quotidien — dans notre langage, notre mémoire, notre culture.
Cet articule, intitulé "Quand le monde s’efface", explore ce que les chercheur·euses appellent "l’amnésie environnementale générationnelle". C'est à dire la tendance à oublier, de génération en génération, l’état naturel du monde tel qu’il était, au point de ne plus percevoir sa dégradation progressive.
Face à cette perte de repères, Vigie Nature propose une réponse concrète : renouer activement avec la biodiversité par l’observation et la curiosité, ce que permettent les sciences participatives biodiversité. Une lecture à ne pas manquer pour réfléchir à notre lien au vivant, et à la manière dont chacun·e peut contribuer à le préserver.