Dans un contexte de remise en cause de la démocratie représentative et du monopole des chercheurs dans la production des savoirs, les sciences participatives participent, à des degrés divers, à la séparation stricte entre connaissance et action, entre savoirs experts et savoirs des acteurs de la société civile.
De même, elles intègrent une dimension pédagogique qui fait évoluer les pratiques et les savoirs de l’ensemble des participants.
C’est en partant de ce constat que Maité JUAN, Post-doctorante au GIS Démocratie & participation et chercheure associée au programme de recherche « Démocratie et économie plurielles » au Collège d’études mondiales, propose à travers son article d’explorer les rapports des recherches participatives au politique.
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