« Je suis un peu comme un gosse qui va à la récré, ça me change complètement de mon quotidien, c'est ma petite bouffée d'oxygène ! Je vais sur le terrain, je vais faire les relevés avec B. et on passe un petit temps ensemble où on s'amuse tout simplement ! »
C'est ainsi qu'un jardinier, participant au Propage (Protocole papillons gestionnaires), évoque les bienfaits des sciences participatives sur sa vie professionnelle.
Ce témoignage est issu du travail de thèse de Marine Gabillet mené auprès de gestionnaires d'espaces verts contribuant au Propage, un programme Vigie-Nature animé par Noé Conservation. Ils témoignent du fait que les sciences participatives contribuent à redonner du sens au travail de jardinier, et évoquent les freins qui peuvent rendre difficile de concilier vie professionnelle et sciences participatives en biodiversité.
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